Les cervolants de kaboul.

Présentation de l'éditeur
De Kaboul à San Francisco, des années 70 à nos jours, une déchirante histoire d'amitié et de trahison, avec, en arrière-plan, la chronique tourmentée d'un pays dévasté : l'Afghanistan. Amir et Hassan ont grandi dans des mondes différents : le premier est le fils d'un riche commerçant, le second est le fils de leur serviteur. Inséparables, liés par une même passion, les deux garçons se vouent une amitié indéfectible. Mais ce lien va se briser à jamais. Alors que sous ses yeux Hassan subit une véritable ignominie, Amir reste pétrifié. Peur ? Lâcheté ? Honte ? Pris dans une terrible confusion des sentiments, il n'esquissera pas un geste pour sauver son ami. Eté 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux Etats-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. Il existe un moyen de te racheter, lui annonce une voix au téléphone. Mais ce moyen passe par une plongée au cœur de l'Afghanistan des talibans... et de son propre passé.

Biographie de l'auteur
Khaled Hosseini est né à Kaboul, en Afghanistan, en 1965. Fils de diplomate, il a obtenu avec sa famille le droit d'asile aux Etats-Unis en 1980. Son premier roman, Les Cerfs-volants de Kaboul, a bénéficié d'un extraordinaire bouche à oreille. Acclamé par la critique, il est resté de nombreuses semaines en tête des listes aux Etats-Unis, où il est devenu un livre-culte.

Une description superbe, des sentiments humain ou le hero n'est pas "clean" bref vraiment un livre à lire, à decouvrir +++++++
Ne pas oublier les mouchoirs (j'ai je l'avoue beaucoup pleuré)
Parcontre ne pas voir le film tiré du livre il ne retrace pas du tout la personnalité d'Amir ce qui gache tout et ne donne pas la meme histoire...
Comme quoi cela reste encore compliqué de faire une adaptation ciné qui colle vraiment au livre.... Cela manquait de profondeur....

De Noah Gordon
Le medecin d'ispahan:
En Angleterre, au XI siècle, Rob J. Cole, l'orphelin devenu malgré lui barbier-chirurgien, découvre sa vocation : il veut soulager les souffrances des autres, il veut devenir un médecin. Mais pas un charlatan comme tant de médecins de son époque ; il veut étudier la vraie médecine au côté des plus grands praticiens du monde. Pour cela il devra se rendre à Ispahan auprès Ibn Sina. A la mort du maître barbier, qui l'a recueilli au décès de ses parents et qui lui a enseigné tout ce qu'il savait, il décide d'effectuer le périple jusqu'en Perse, pour accomplir sa destinée.
En traversant le monde, de l'Angleterre à l'Inde et de la Perse à l'Ecosse, ses péripéties l'amèneront à découvrir les populations de l'époque et leur mode de vie : à chaque peuple ses moeurs, ses coutumes, ses croyances et sa culture. A Ispahan, aux côtés des plus grands, il accédera à l'enseignement de la philosophie, apprendra ce qui se fait de mieux en médecine au XI siècle, et deviendra un disciple du grand Ibn Sina (Avicenne). L'Amitié et l'Amour l'attendent aussi sur les routes du monde et en Perse où il fondra une famille. Mais de terribles événements viendront perturber et briser l'équilibre établi ; il faudra à Rob prendre de grandes décisions pour préserver les siens.


Dans un style très agréable, fluide, coloré et vivant, Noah Gordon nous livre une formidable épopée, des plus captivantes. Le riche contenu historique donne à ce roman un surprenant parfum d'authenticité qui ravira les amateurs d'aventure comme les amateurs d'Histoire. On ne peut qu'être admiratif devant de l'excellent travail de recherche et de documentation que l'auteur a réalisé en préalable à l'écriture de ce roman.

Un grand moment de lecture ! un pur régal ! D'ailleurs je connaissais d'autres titres et je nai jamais été decue !
Celui ci je l'ai litteralement devoré.........

Les cer-volants de Kaboul
Je confirme que ce livre est poignant avec de très belles descriptions de sentiments, mais de scènes très dures à lire aussi.
J'ai déjà pleuré à plusieurs reprises moi aussi.
J'en suis d'ailleurs à une scène où à Kaboul un couple illégal est en train de se faire punir en public par les talibans, c'est ignoble ...
Heureusement (enfin je l'espère) le plus beau moment du roman reste à venir
Merci Mary de me l'avoir conseillé

Pour ma part, mes auteurs contemporains fétiches sont réciproquement brésilien et marocain: Paolo Coelho et Tahar Ben Jelloun.

Mon chemin littéraire a croisé celui du premier lors d'une quête vers le bonheur. Je parle évidemment de l'alchimiste qui reste pour moi le chef d'OEUVRE de cet écrivain.
J'ai lu plusieurs de ces oeuvres et suis toujours sous le charme de ses pensées.
Cet auteur, à chaque mot posé sur la feuille blanche, me renvoit à moi même. Je suis toujours en pleine introspection quand je le lis. Je me remets en question, je réfléchis, analyse et me dis à chaque fois que c'est moi qui aurait pu écrire ce livre.
Le Zahire et Maktoub sont les 2 derniers que j'ai lu.

http://www.paulocoelho.com.br/fran/

Quant à Tahar ben Jelloun, c'est simple, je l'ai découvert avec le recueil de nouvelles Le premier amour est toujours le dernier dans lequel toutes les facettes de l'amour sont traitées.
Depuis j'ai découvert d'autres de ses oeuvres qui traitent du Maroc ou de la société. La lecture de ses oeuvres est moins spirituelle que lorsque je lis du Coelho mais son écriture est fluide et poétique.

http://www.taharbenjelloun.org/

Dernièrement, J'ai découvert Christian Bobin (il me semble L'avoir vu sur le forum) avec Geai.
Voilà encore une écriture poétique, un voyage dans un univers particulier qui nous permet de casser certains clichés et qui nous révéle le Beau à travers un regard différent de ce que l'on croit normal.
Ce roman est frais, coloré, plein de sérénité et le choix des mots est très poétique
La première phrase du livre "Geai été morte depuis deux mille trois cent quarante deux jours" devient à l'écoute "J'ai été morte jusqu'à ma rencontre avec Albain"

Bienvenue au club..des amoureuses de Tahar ben Jelloun, Ouessane, dont j'ai parlé dans la discussion sur mes auteurs maghrébens favoris.
Une langue erveilleuse et une émotion rare.

J'ai beaucoup aime aussi "l'Alchimiste", mais ai été assez déçue par les suivants de COELHO où il me semble avoir voulu utiliser un filon commercial (c'est toujours bien écrit mais je n'y ai pas retrouvé la même émotion. Mais ce n'est que mon avis)

J'aime beaucoup aussi Amélie NOTHOMB (oui, je sais, je suis chauvine: elle est belge), Didier Van Cauwelaert, notemmen "L'éducation d'une féé" (zut! encore un belge) mais aussi CAMUS, Françoise SAGAN, B-H LEVY, COLETTE, et, quand je n'ai pas le moral, comme pour le moment, Françoise DORIN (oui je sais, c'est léger mais ça fait du bien)

Bref, comme vous voyez, je suis très écclectique.

Merci odysséenne! J'avais zappé le mot occidentaux!

Pour Coelho j'ai beaucoup aimé le zahire car à chaque reflexion sur lui, je me retrouve comme face à moi même.
Cependant je reconnais qu'il a fait très fort avec l'alchimiste et que du coup il lui est très difficile de faire aussi bien voire mieux.