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 LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE

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sony
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sony

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MessageSujet: LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE   LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Icon_minitimeJeu 21 Juin 2007 - 17:18

Sexualite

La sexualité en Egypte Ancienne


  • les Égyptiens connaissaient à peu près toute les méthodes de contraceptions modernes, mais ils ont également conçu le tout premier test de grossesse connu. Les femmes humectaient chaque jour un échantillon d’orge et d’amidonnier (une sorte de blé) avec leur urine1. Si l’orge poussait, cela signifiait que l’enfant serait un garçon ; si l’amidonnier poussait, ce serait une fille. Si aucun des deux ne poussait, c’est que la femme n’était pas enceinte. L’efficacité de ce test a été confirmée par la science moderne. : l’urine des femmes qui ne sont pas enceintes empêche l’orge de pousser, et rend le test à 70% sûr2


    Les raisons de la contraception

    LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Femme-petit Femme représentant la fertilité

    Les méthodes contraceptives n’étaient pas utilisée par la majorité des femmes égyptiennes. En réalité, elles étaient utilisées principalement par les prostituées (ne pouvant se permettre d’être enceinte avec leur métier) et les filles non-mariées (pour éviter d’être mal vue). Des motifs plus médicaux pouvaient également jouer, comme semble l’indiquer un décret oraculaire de la Basse Epoque. Les accouchements représentant toujours un danger important pour les femmes les plus fragiles et celle dont la constitution ou l’hérédité laissait présager des complications susceptibles d’être fatales. Un bassin trop étroit ou des grossesses gémellaires dans la famille par exemple. Il semble aussi que les pratiques contraceptives est étaient recommandées en cas de problème psychiatriques gravidiques et post gravidiques. Les méthodes de contraception

    Préservatif

    On retrouve les premières traces de préservatifs entre -1350 et -1200. Le préservatif était alors composé de lin coloré, trempé dans l’huile d’olive. Ils étaient utilisés sur les momies par les embaumeurs, mais nous ne savons pas si c’était pour des raisons sacrée ou sexuelles... On a aussi connaissance de préservatifs fabriqués à partir de membranes intestinales de moutons, ils étaient surtout utilisés contre les maladies infectieuses, selon les spécialistes
    Stérilet

    Le stérilet retrouve ses origines en Égypte ancienne : en effet on sait que des morceaux d’acacias étaient utilisés afin de se protéger d’un grossesse potentielle aux temps des pharaons LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Phallus-petit Phallus


    Pilule

    Pour empêcher la grossesse, on utilise couramment la pilule contraceptive, composée d’hormones (œstrogènes) censés inhiber une partie du cerveau (le complexe hypotalamo-hypophysaire), et ainsi empêcher le développement d’un fœtus. Les égyptiens anciens semblaient avoir compris cela car ils utilisaient des pilules artisanales : en réduisant en poudre des graines de grenade, il fabriquaient grâce à de la cire des petits cônes contraceptifs. En effet, le fruit du grenadier contient un œstrogène naturel !
    Tampon contraceptif

    Le "Papyrus de Ebers", daté de 1550 avant J.C, est le premier manuscrit détaillant des moyens de contraception :

"faire en sorte qu’une femme cesse d’être enceinte pour une année, deux ou trois ans. Une partie de Kaa d’acacia , de la coloquinte, des dattes seront moulues finement dans un pot de miel, [ensuite] une compresse sera humidifié avec [la préparation], puis on l’appliquera sur le [sexe féminin] (vagin)"
Ebers 783 (93,6- 8 )
Spermicides

LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Lit-petit Femme nue allongée

Les égyptiens utilisaient aussi des crèmes que l’on pourrait comparer avec nos spermicides actuels. Mélangés à du miel, des dattes ou à d’autres substances, des excréments de crocodiles ou d’éléphants étaient régulièrement utilisés dans les pommades et onguents prescrits, voici près de 3800 ans, par les médecins égyptiens. Leur fermentation en faisait d’excellents spermicides. Certains ingrédients ont réellement des vertus contraceptives (le miel et l’huile de dattes sont connus pour leurs effets spermicides), mais d’autres ingrédients, comme les crottes de crocodile sont présent pour des raisons de croyances. Le crocodile étant une des formes de Seth, il s’agissait d’introduire un vecteur de chaos dans le ventre de la femme visant à empêcher le cours normal des choses, autrement dit la fécondation. Même les produits réellement efficaces avaient des propriétés symboliques, les médecins égyptiens prescrivaient ainsi l’application locale d’un tesson de vase neuf pour provoquer un avortement. Si on peut expliquer cette prescription pour les vertus antiseptique et antitoxique de l’argile on peut aussi y voir le symbolisme bien connu du vase brisé (en particulier dans les rites d’exécration). L’acacia pour sa part était souvent associé aux rites de destructions d’éléments néfastes et pouvait donc être prescrit pour se débarrasser d’un élément considéré comme nuisible à l’équilibre de la famille.


"une compresse devra être enduite d’excréments de crocodile, puis appliquée à l’entrée de [là où elle donne naissance]"
(Ram IV C 2-3)
Excision et circoncision



"L’une des coutumes observées avec un soin extrême par les Egyptiens consiste à élever chaque enfant qui voit le jour, et à pratiquer la circoncision des garçons et l’excision des filles, comme il est aussi d’usage chez les Juifs, qui sont d’origine égyptienne."
(Joyce Tyldesley. "les femmes dans l’ancienne Egypte" p143)
Excision

LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Aphrodite-priapus_petit Aphrodite et Priapus

D’après Joyce Tyldesley, l’excision semble être pratiquée en Égypte ancienne... Cependant, nous n’avons pas de preuve de sa pratique, et aucune des momies retrouvées n’avait été excisée (bien que cela ne soit pas une preuve suffisante car nous n’avons pas de momies du peuple, qui pouvait avoir des pratiques différentes de la haut société
Christiane Desroches Noblecourt fait remarquer que de très rares textes parlent de "jeunes filles qui n’ont pas été coupées". Ceci pourrait suggérer une mutilation rituelle pour les filles au même titre que la circoncision pour les garçons. Par contre, les transports amoureux dont on parle dans les Chants d’amour paraissent totalement incompatibles avec une excision totale. Il reste la possibilité que ces chants soient de simples fantasmes.
Lynn Meskell (Vies privées des Egyptiens) à une thèse bien différente des autres égyptologues. Il suggère que les filles étaient très tôt considérée comme des êtres sexuels, et par conséquent mêlées à des scènes érotiques. Nombreuses sont les représentations où on les voit nues ou à demi-nues, associées à des symboles comme des fleurs de lotus, portant des ceintures sur les hanches et munies d’instruments de musique. L’association de fillettes à la sexualité est fréquente dans l’imagerie qu’elle soit réelle ou imaginaire et cette situation devait être acceptée. Ces éléments semblent suggérer que leur rôle social et sexuel commençait très tôt. Il ne faut pas oublier que l’âge du mariage était de douze ou treize ans pour les filles (seize à vingt ans pour les hommes, selon les sources) et cela faisait dire qu’il n’y avait pas d’adolescence pour elles.


"Contrairement à la circoncision pour laquelle on a plusieurs témoignages sous forme de texte ou de représentation, il n’y a, à priori, pas de certitude en ce qui concerne l’existence de l’excision en Egypte ancienne.
Il y a deux ou trois textes obscurs (désolée, je n’en ai pas les références) dans lesquels certains passages traitent d’une "pratique qui pourrait être interprétée comme une circoncision féminine". Ces passages, sans plus de précision, restent soumis à l’interprétation subjective de chaque lecteur.
De plus, en ce qui concerne les observations qui pourraient être faites sur les momies elles-mêmes, la circoncision quand elle a eu lieu est facilement mise en évidence. Ce n’est pas le cas pour l’excision, le dessèchement et le racornissement des chairs après momification ne permettant pas d’affirmer avec certitude qu’elle a été pratiquée."
Françoise Dunand
Circoncision

Elle était pratiquée à l’époque Thinite, mais plus à partir du Nouvel Empire, pour les rois. On ignore sa signification, mais on peux supposer qu’il s’agit simplement d’une question d’hygiène. On retrouve des représentation de la circoncision sur certains bas-reliefs de temples (à Karnak notamment) ou sur les parois de certaines tombes.
Hérodote nous apprend que laa circoncision appartient en propre aux Égyptiens et Éthiopiens ou Nubiens. En effet, dans la civilisation assyro-babylonienne, on ne trouve pas de traces de circoncision. Celle-ci s’est répandue dans le "monde méditerranéen" et chez les Arabes et les Juifs ("Syriens de la Palestine" d’Hérodote ; Flavius Josèphe cite également ce passage d’Hérodote : voir Contre Apion, I, 22) par l’Égypte, où elle se présente comme un trait culturel antique, identifiable dès les origines mêmes de la civilisation égyptienne (au Néolithique : présence d’étuis péniens), et permanent à travers toute l’histoire de la civilisation de la vallée du Nil.

Les règles chez les égyptiennes

LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Priapus-petit Priapus

La "purification" rituelle. C’est vraisemblablement comme cela que les égyptiens nommaient les règles. En fait, il semble qu’il confondent les règles et les lochies : après l’accouchement, pendant 14 jours, la jeune mère s’isolait du lieu de vie commun avec son nourrisson. Cet isolement pouvait se faire dans le pavillon de naissance. Ces bâtiments étaient peut-être construits spécialement à cet effet, à l’extérieur des maisons. Il n’est pas étonnant que les fouilles archéologiques n’en aient retrouvé aucun, vu la légèreté de la construction. D’autres égyptologues pensent qu’ils étaient simplement dressés sur les toits des habitations ou, comme à Deir el-Medineh, que les accouchements se déroulaient dans la première pièce de la maison. On a, en effet, retrouvé des décorations murales de cette pièce, consacrées à la sexualité et à la naissance. Il en est de même dans le village d’ouvriers d’Amarna. Ces écoulements étaient-ils considérés comme des saletés qui devaient être évacuées ? Toujours est-il que ces quelques jours d’absence permettaient à l’accouchée de se reposer et de s’occuper de son bébé tandis que les femmes de l’entourage s’occupaient de la maison. On a retrouvé un certain nombre de représentations de femmes allongées ou assises, allaitant leur bébé.


"Les ostraca peints montrent des femmes allaitant des enfants dans un pavillon léger aux colonnes ornées d’ancolies ou de clématites"
(Lynn Meskell, p91...d’après Pinch, 1994)
L’apparition des menstruations est peu documentée dans les textes dont nous disposons. Nous ne pouvons comprendre comment les adolescentes percevaient ce passage à l’âge adulte. Quant à l’aspect pratique de la protection hygiénique, les découvertes faites à Deir el-Médineh apportent certaines réponses. En effet, on a retrouvé des listes de vêtements à nettoyer et notamment des "bandes du derrière" (serviettes faites de deux épaisseurs de lin que l’on donnait à nettoyer avant de les réutiliser [Joyce Tyldesley : "Les femmes dans l’ancienne Egypte" p143]). Il semble que les femmes étaient considérées comme impures pendant la période de leurs menstrues.
Selon Lynn Meskell, le terme désignant le cycle menstruel, Hsmn, avait la même racine que le mot "natron", impliqué dans la purification. Ce serait un euphémisme ! Il semble, d’après Wilfong T.G. qu’il existait, à Deir el-Medineh, un "lieu des femmes", construit à l’extérieur du village, cabane où se retiraient les femmes en période menstruelle. Apparemment ces "lieu des femmes" étaient habités à la fois par les femmes ayant leurs règles, et par celles venant d’accoucher. Il est certain que l’absence momentanée des femmes et surtout si elles étaient plusieurs (ce qui semble avoir été le cas en raison d’une certaine synchronisation de ces périodes parmi les femmes d’une même communauté, phénomène actuellement bien connu) ait créé des problèmes dans la vie sociale et motivé certaines absences du personnel masculin sur les lieux de travail. On possède en effet des registres de travail de la Vallée des Rois dans lesquels certains hommes prenaient congé à ces périodes pour faire fonctionner la maisonnée.

Pratiques et représentations du sexe


Virginité

LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Fard-petite Selon C. Desroches Noblecourt, certains textes font penser que la virginité de la jeune épousée était très importante lors du mariage. Par contre, Joyce Tyldesley rapporte que la jeunesse des fiancées ne les empêchait pas d’avoir une activité sexuelle. Strabon décrit une jeune fille de noble naissance, dévouée au service d’Amon :

"Elle se prostitue et couche avec qui elle veut jusqu’au moment où survient la purification de son corps " Cette purification du corps signifie l’apparition des règles.
Morale

On considère à tort les égyptiens comme des obsédés sexuels. Les fantasmes existaient à l’époque bien sur (par exemple manger en faisant l’amour), mais en réalité, même si les tabous de l’époque étaient différentes de la nôtre, il n’y a pas de raison d’être choqué ou d’être surpris par leur pratiques (par exemple, il ne pratiquaient pas le baiser, ce qui n’a pas manqué d’étonner les membres du forum lors d’une discussion sur les sexe chez les égyptiens). Les égyptiens avaient cependant eux aussi une morale. Par exemple, ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui le viol sur un mineur était expressément puni dans les textes :


"Ne fais pas l’amour avec une femme-enfant, car tu sais qu’on lutter contre l’eau qui est sur son cœur. Ce qui se trouve dans son ventre ne sera pas rafraîchi ; qu’elle ne passe pas la nuit à faire ce qui doit être repoussé, qu’elle soit calmée après avoir mis un terme à son désir."
(Enseignement du sage Ptahhotep, maxime 34)
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MessageSujet: Re: LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE   LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Icon_minitimeJeu 21 Juin 2007 - 17:45

On a toujours la sensation que seule la médecine moderne et la science moderne sont à l'origine de la contraception et autres règles tout à fait originelles et naturelles.

Nous avons la sensation que la sexualité n'existe que depuis peu et ne pouvons imaginer que dans les temps anciens, voire très anciens, il fallait bien se reproduire ou éviter toute grocesse avec les moyens du moment et la nature.
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gazelle
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MessageSujet: Re: LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE   LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Icon_minitimeJeu 31 Jan 2008 - 13:38

il me semble avoir lu que dans beaucoup de textes anciens de nature religieux pour la plupart, des règles étaient déjà bien établies au sujet de la sexualité, de la naissance, de la contraception, des rapports, de la morale,...et ce, bien avant que la science ne vienne "s'en mêler".
par exemple dans le Coran, le miracle de la vie entre autres(de l'embryon à l'enfant) y est décrite de façon très claire. j'essaie de retrouver le site sur lequel je l'ai vu pour vous mettre le lien.en tout cas je trouve spectaculaire les découvertes faites il y a très longtemps mais que peu (et cest dommage!) en ont connaissance sinon à travers la science telle que nous la vivons aujourd'hui.
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Advensys
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MessageSujet: Re: LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE   LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Icon_minitimeJeu 31 Jan 2008 - 16:43

Les coquins ...

QUand je dis que les Egyptiens ont tout inventé :p
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Sophia
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Sophia

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MessageSujet: Re: LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE   LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE Icon_minitimeMar 12 Fév 2008 - 15:10

Merci pour ce post très intéressant,
j'ai eu la chance de me rendre à Louxor :farao:
il n'y a pas de mots pour qualifier cette grande civilisation LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE 127874

En effet, dans l'Antiquité, les égyptiens étaient très avancés, j'avais entendu parler de leurs "protections" pendant les périodes de règles LA SEXUALITE EN EGYPTE ANCIENNE 310151
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